Est-ce possible d'avoir de la résilience par rapport à sa propre mort annoncée?
Pour Andrée Galarneau et Alain Beauregard, un diagnostic de cancer ne leur donnait que quelques mois à vivre. Andrée a vécu trois ans de plus et croit que sa ferme décision de vivre sa vie plutôt que de pleurer sa mort y est pour quelque chose.
Alain est en rémission depuis cinq ans et affirme que sa guérison est plus émotive. Quant à Sarah Dettmers, 21 ans, c'est la fibrose kystique qui réduit son espérance de vie, mais pas son bonheur d'y croquer à pleines dents. Elle affirme être la jeune femme la plus heureuse au monde. Malgré qu'elle soit déjà dans le déclin de sa vie, elle a décidé de vivre deux fois plus intensément.
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